« Les cloches du karma. Elles vous appellent et reviennent sans cesse. Discrètement, violemment, selon les circonstances, elles vous imposent leur présence. Elles reviennent se manifester et elles ne s’arrêteront pas. Elles ne s’arrêterons pas tant que vous n’aurez pas résolu leur énigme. Qui sont-elles ? Tenez-vous face à elles et cherchez la réponse par toutes les approches imaginables. Si vous n’y arrivez pas, il ne vous reste plus qu’à répondre à cette question : qui voulez-vous être face à elle ? »

L’organisation de la pièce s’articule autour d’un fa itéré par deux sons de cloche (de synthèse).

À chacune de ces itérations, la cloche s’enrichit de matériaux timbrales issus du discours précédent.

Le violon tourne autour de ce fa en y réagissant de manière différente, et traverse une succession d’états et d’attitudes qui doivent le conduire à une forme d’initiation.

L’espace virtuel de 10 canaux (8 en cercle et 2 proche du violon) s’adapte à des configurations variées, l’idéal est d’avoir une disposition homogène pour le public.